Bureaux de pays et bureaux autonomes
Les bureaux de pays et les bureaux autonomes du HCDH sont établis sur la base d’un accord type entre le HCDH et le gouvernement du pays hôte, à la suite de consultations avec les pays de la région concernée. Ils ont pour mandats de respecter et protéger les droits de l’homme, de mener des activités de coopération technique et de communiquer des informations. Les activités de chaque bureau de pays sont élaborées en consultation avec le gouvernement concerné, en fonction de l’évaluation des préoccupations relatives droits de l’homme et de la capacité des acteurs nationaux et internationaux impliqués dans l’action en faveur des droits de l’homme, ainsi qu’en fonction des moyens les plus efficaces dont dispose le HCDH pour combler les lacunes. Les bureaux de pays et les bureaux autonomes sont principalement financés par des contributions volontaires.
Les bureaux de pays sont de taille variable, selon la phase de déploiement et la nature des travaux menés. Ils présentent chaque année un rapport à la Haute-Commissaire et ces rapports sont présentés au Conseil des droits de l’homme conformément à leur mandat, soit indépendamment ou dans le cadre du rapport de la Haute-Commissaire.
En 2018, le HCDH détenait des bureaux au Burundi, au Cambodge, en Colombie, dans l’État de Palestine, au Guatemala, en Guinée, au Honduras, en Mauritanie, au Mexique, en Ouganda, en République de Corée, au Tchad, en Tunisie et au Yémen.
Ces bureaux sont chargés de plusieurs activités, dont le suivi, la publication de rapports, une assistance technique, et le suivi et le développement des capacités nationales à long terme en matière de droits de l’homme.
Des informations sur les différentes présences sur le terrain sont disponibles dans les sections correspondantes du
Plan de gestion du HCDH pour 2018-2021.
Région Afrique |
Région Moyen-Orient et Afrique du Nord |
Région Asie-Pacifique |
Région Europe et Asie centrale |
Région Amériques |
Bureaux de pays/autonomes |
| | | | |
** La référence à l’État de Palestine doit être comprise conformément à la résolution 67/19 de l’Assemblée générale des Nations Unies.